L'artiste & sa Vision : JO DI BONA
POP GRAFFITI | Quand l’Art Urbain Rencontre la Culture Pop
Des Icônes et des Hommes
Jo Di Bona n’est pas seulement un artiste : c’est un poète visuel, un alchimiste de la mémoire collective. Né en 1975 à Saint-Denis, il découvre le graffiti à une époque où l’art urbain est encore synonyme de rébellion. Dans les années 1990, il signe ses premiers murs sous le pseudonyme d’Anoze, explorant les textures de la ville comme on explore une page blanche. Son parcours est atypique : après une décennie comme chanteur du groupe rock Hotel, Jo revient à son amour premier, la peinture, et donne naissance à un style inclassable : le Pop Graffiti.
Depuis 2013, son œuvre rayonne en France comme à l’international : du Musée de l’immigration à Paris au siège de l’ONU à New York, il peint un monde en éclats, un monde où les affiches déchirées, les visages pop et les icônes oubliées se répondent.
La Vision de JO DI BONA
Le Pop Graffiti est bien plus qu’un style, c’est un langage.
Celui des mémoires visuelles, des images populaires qui nous ont façonnés, recollées sur les murs comme des rêves fragmentés. Jo Di Bona fusionne le graffiti old school avec les icônes de la publicité, les visages de notre enfance, les affiches de concert oubliées. Il peint comme on assemble une mémoire collective, une fresque intime à ciel ouvert.
Ce qui fait la singularité de son œuvre, ce sont les déchirures. Elles ne masquent pas l’image, elles la révèlent. Chaque déchirure, chaque collage, chaque éclat de couleur évoque une trace du passé, une histoire qui palpite encore. C’est une peinture du sensible, du multiple, du vivant.
INTERVIEW EXCLUSIVE
“Mon travail est un hommage à la culture populaire… de tout ce qui fait partie de la société et que l’on trouve dans la rue.”
L'Art Comme Message
Jo Di Bona est un artiste du lien. Lien entre l’intime et le politique. Entre l’individuel et le collectif.
Ses œuvres murales sont autant de cris visuels : en 2016, il rend hommage aux réfugiés syriens sur la place de la République. En 2024, il est nommé ambassadeur des volontaires pour les JO de Paris, et réalise une fresque participative avec 45 000 bénévoles.
À travers ses actions, il défend une vision claire : l’art pour tous, partout, maintenant.
Chaque création devient un message : celui d’un monde possible, plus juste, plus vibrant, plus humain.
“L’art urbain est un art populaire. Il doit sortir des galeries, être vu dans la rue, et avoir un impact direct sur les gens.”
SON ŒUVRE | JUST SMILE
Jo Di Bona, artiste aux mille visages et créateur du Pop Graffiti, incarne avec force l’esprit de Just Art Paris : faire de l’art une expérience vivante, émotionnelle et accessible. Il réinvente la Joconde avec “Just Smile” pour Just Art Paris : une Mona Lisa urbaine, saturée de mémoire, d’icônes et d’émotion.
Chaque pièce de cette collection limitée est bien plus qu’un vêtement : c’est une œuvre vivante, un sourire à porter, un fragment d’humanité à collectionner.
Par ses déchirures graphiques, ses couleurs explosives et son univers vibrant, Jo Di Bona donne à la mode une âme artistique. Découvrez une collection où l’art se porte, se vit, se partage.
Osez le Pop Graffiti. Saisissez la Joconde comme vous ne l’avez jamais vue.
JO DI BONA : Le POP Graffiti entre à l’ONU
En 2017, Jo Di Bona marque l’histoire du street art en devenant l’un des tout premiers artistes urbains invités à exposer au siège des Nations Unies, à New York. Il y présente une œuvre poignante consacrée à la jeunesse et aux injustices qu’elle subit, marquant une reconnaissance internationale pour le Pop Graffiti.
Cette reconnaissance marque un tournant dans sa carrière : son art, né dans la rue, s’invite dans les plus hautes sphères, sans jamais perdre son humanité ni sa portée universelle.
Place de la République — Fresque pour les Réfugiés Syriens
En 2016, Jo Di Bona crée une fresque monumentale à Paris avec l’ONG Première Urgence Internationale, rendant hommage aux réfugiés syriens. Un acte artistique et humaniste fort, en plein cœur de la capitale.
Hommage aux victimes du 13/11 - Une historique dans le New York Times
Après les attentats du 13 novembre, il réalise une fresque bouleversante à Paris, en hommage aux victimes. Le New York Times le met en une, faisant entrer son art dans l’histoire contemporaine mondiale.
À travers son œuvre “Wall of Love”, il propose une fresque vibrante, inspirée du célèbre tableau La Liberté guidant le peuple de Delacroix.
JO Paris 2024 — Ambassadeur des Volontaires
Choisi pour représenter les 45 000 bénévoles des Jeux Olympiques, Jo imagine une fresque collective monumentale : un projet humain, artistique et fédérateur, à l’image de son engagement.
Au fil des années, Jo Di Bona a affiné son Pop Graffiti, enrichi de ses voyages, de ses fresques internationales, et de ses collaborations artistiques. Inspiré autant par les icônes populaires que par les engagements sociaux, il construit une œuvre accessible et profondément humaine.
Jo explore de nouveaux formats, du mur à la toile, du vêtement à la sculpture, toujours animé par l’envie de faire vibrer la mémoire collective à travers la couleur et la matière.
Avec Just Art Paris, il pousse encore plus loin cette démarche, en inscrivant son art dans le quotidien : une galerie à ciel ouvert, une œuvre à porter, une émotion à partager.
Et ce n’est qu’un début — car pour Jo, chaque mur, chaque vêtement, chaque regard est une nouvelle toile.
Découvrir son travailAperçu de la collection JO DI BONA X JUST ART PARIS
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